https://docs.google.com/document/d/1HCx8OAi5q3pgoy8CALik2UVUBpJ9mil3xQV9xb5pROc/edit?usp=sharing
http://www.wapikoni.ca/movies/correcting-the-chalkboard
EDUC 440 UBC
mercredi 14 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
Semaine 12
Aujourd’hui, nous avons regardé une vidéo à propos des
façons d’établir les bonnes relations avec la communauté locale autochtone. C’était
une classe utile car nous avons parlé des façons d’accueillir un invité, l’importance
de contacter l’aîné et de reconnaitre la terre sur laquelle votre école est située.
Nous avons parlé aussi de l’importance de se familiariser avec les protocoles
pour maintenir les bonnes relations. Chaque nation a des traditions différentes et
j’ai appris qu’il est important de parler avec les membres de la communauté et
de les inclure si vous voulez incorporer les activités traditionnelles comme la
danse ou de la musique. Je me suis rendu
compte aussi qu’il y a beaucoup des aspects que j’ai sous-estimé dans la préparation
pour un invite comme l’importance de préparer les élèves aussi pour assurer que
tout le monde est respectif et attentif pendant la présentation. Finalement, je vais commencer à reconnaitre à chaque
classe la terre sur laquelle l’école est
située car ce n’est pas fait à mon école et je crois que c’est important pour
chaque élève dans le district d’être
conscient.
samedi 3 décembre 2016
Semaine 11
Aujourd’hui,
la classe a abordé le sujet de la diversité des langues autochtones et comment
beaucoup sont presque éteinte. J’étais surpris d’apprendre que 60% des langues
autochtones au Canada sont parlées dans la Colombie Britannique mais à cause
des pensionnats, la politique et l’assimilation très peu des gens continuent d’apprendre
ces langues. Je pense qu’il est important de préserver les langues autochtones
car la langue fait un grand parti de leur culture. Ce que j’ai trouvé intéressant
est l’idée que les pensées d’un groupe sont
codées dans leur langue qui aussi reflet leur vision du monde. Par exemple,
dans certains groupes autochtones il y a plusieurs mots pour le mot neige en
anglais. Parce qu’il y a les mots qui ne traduisent pas, cela influence comment
nous percevons le monder et aussi notre relation avec la terre. Alors, pour préserver
une culture il est important de préserver leur langue. Comme enseignantes, nous
pouvons être plus ouvertes en utilisant les livres bilingues qui ont le français
et un langue autochtone ou d’utiliser les sites web comme « First voices »
qui sensibilisent les élèves aux autres langues et cultures.
lundi 28 novembre 2016
Semaine 10
Aujourd’hui,
Kaleb Child est venu pour nous parle des changements nous comme enseignantes
peuvent faire pour changer les images stéréotypés des autochtones. J’aime
beaucoup ses histoires personnels qui été très intéressants et qui m’avais fait
penser à comment même les enfants autochtones sont susceptible aux images stéréotypés.
L’histoire avec sa fille m’a fait prendre conscience de l’importance de la réconciliation
et comment nous comme enseignantes peuvent contribuer à cette changement. Les ressources qu’il a partagées était aussi très
utile et je suis sûr que j’utiliserai ces liens a l’avenir.
mercredi 16 novembre 2016
Semaine 9
Aujourd’hui,
nous avons parlé des façons de raconter des histoires et Dr. Hare a lu l’histoire
du coyote avec les yeux désadaptés. J’ai beaucoup aime la façon qu’elle a lu l’histoire
a haut voix et aime qu’elle a modélisé quelques techniques utiliser pour la lecture
a haut voix qui sont différents dans les cultures autochtones. J’ai appris que
les structures et stratégies des histoires sont parfois différentes que dans
notre culture mais que la tradition
orale de raconter les histoires aide la compréhension, apprentissage de culture
et les figures de style. J’ai aussi aimé
le fait qu’elle a parlé de l’importance de choisir les textes authentiques et
nous a aidés en suggérant quelques sites web pour trouver les textes en français.
Je veux incorporer la lecture à haut voix des histoires autochtones dans ma
classe alors la classe était très utile.
Biographie: Ta'kaiya Blaney
Ta’Kaiya Blaney est une
chanteuse, actrice et activiste environnementale du groupe Sliammon de la côte pacifique de la Colombie Britannique. Elle
est connue pour ses chansons et ses discours sur l’environnement. Quand elle
chante, elle est presque toujours habillée dans les vêtements traditionnels de son clan et elle incorpore souvent les
histoires autochtones dans ses discours sur l’environnement. Elle chante aussi
les chansons dans la langue Silammon parfois traduit par son grand-père.
En 2011, à l’âge de 11,
elle a écrit une chanson qu’elle a lancé intitulé « Shallow waters» contre le passage des pétroliers, qu'elle a
essayé de remettre en personne au bureau d'Enbridge à Vancouver, mais elle était
refuser l'accès et a été escortée hors de l'immeuble. Malgré cela, elle
continue à sensibiliser les gens en donnant les discours à propos de l’environnement
et en lançant les vidéos sur Youtube. Elle croit que dans son culture la terre
et la condition humaine est liée et elle a dit « We were put on this earth
to be stewards and caretakes of the environment ». Elle a été invite pour
parler a plusieurs conventions des Nations Unies parce exemple TUNZA UN
children & youth conference en Indonesie et Rio +20 UN conférence en Rio de
Janiero. De plus elle a gagné plusieurs prix
pour ses efforts. Par exemple, en 2014
elle a gagné le John Gibbard Award pour sa contribution aux droits autochtones
et l’environnement. Aujourd’hui elle est une ambassadrice de la jeunesse pour
Native Children’s Survival un entreprise qui aident à promouvoir une conscience
ecologique.
À seulement 15 ans elle a déjà accompli beaucoup
pour sensibiliser les gens aux problèmes liées à l’environnement. Je pense qu’elle
est un bon modèle pour les jeunes et sa détermination
et passion m’inspire beaucoup.
jeudi 27 octobre 2016
Semaine 8
Aujourd’hui,
deux invités sont venus pour nous parler de leurs expériences entend que directeur
de l’éducation autochtone à North Vancouver et directeur de l’école Eastview
Elementary. M.
Baker, le directeur de l’éducation autochtone à North Vancouver fait partie du clan Squamish et a nous raconté quelques problèmes qui existent pour les autochtones aujourd’hui et l’importance d’intégrer l’éducation autochtone dans le curriculum pour tout le monde. C’était étonnant d’apprendre que un quart des enseignants ne veulent pas l’intégrer dans leurs leçons. Il a aussi montrée plusieurs façons que nous pouvons intégrer l’éducation autochtone dans nos propres salles de classe. Par exemple, le « medicine wheel » peut être incorporé dans plusieurs leçons. J’ai trouvé la présentation vraiment utile et j’aime le fait que M. Smyth, le et directeur de l’école Eastview Elementary est venu nous parle aussi. Dans son école, il y a seulement 5 étudiants qui identifient comme autochtone mais il fait un grand effort quand même de changer les façons de penser et d’inclure l’éducation autochtone dans l’école.
Baker, le directeur de l’éducation autochtone à North Vancouver fait partie du clan Squamish et a nous raconté quelques problèmes qui existent pour les autochtones aujourd’hui et l’importance d’intégrer l’éducation autochtone dans le curriculum pour tout le monde. C’était étonnant d’apprendre que un quart des enseignants ne veulent pas l’intégrer dans leurs leçons. Il a aussi montrée plusieurs façons que nous pouvons intégrer l’éducation autochtone dans nos propres salles de classe. Par exemple, le « medicine wheel » peut être incorporé dans plusieurs leçons. J’ai trouvé la présentation vraiment utile et j’aime le fait que M. Smyth, le et directeur de l’école Eastview Elementary est venu nous parle aussi. Dans son école, il y a seulement 5 étudiants qui identifient comme autochtone mais il fait un grand effort quand même de changer les façons de penser et d’inclure l’éducation autochtone dans l’école.
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